Donc, me baigner à Karekare (prononcer "karikari", une quarantaine de minutes en voiture d'Auckland, sur la côte ouest) c'est une sorte de grâce, un cadeau de la vie.

Dans mon souvenir, la montagne qui surplombait la plage était impressionnante, raide et élevée. En fait, pas si grande que ça mais c'est la magie du cinéma.

Depuis la route, il faut marcher le long d'une bande d'eau (une rivière, un peu à sec en cette fin d'été), sur du sable noir - brûlant au soleil. Plage ouverte, vaste, ouverte sur les vagues - pleine de surfers, pas pour nager, mais délicieuse pour y marcher.



Le sable sombre est très doux, très fin, brillant, plein d'éclats de roche volcanique - il en reste aussi quelques cailloux ferreux, traces de rouille.
La mer qui descend laisse des milliers de petits coquillages blancs. Contraste qui m'amène à photographier des compositions.





Avec quelquefois des éclats vigoureux de couleurs.

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