3.5.10
rien ne presse
Remonter en bus de Wellington vers Auckland, où je comptais arriver samedi (en fait, j'ai traîné un jour de plus à Tauranga). D'ici là, arrêts prévus à Turangi lundi soir, Taupo, Rotuora, Tauranga. Je retrouve ce sentiment du temps qui s'étire dès que le stress arrête de le compresser, sentiment de paresse, rien ne presse. Plus de 5h et demi pour rejoindre Turangi. Ces routes limitées à 100 ne sont pas prévues pour la vitesse, en général deux voies seulement, de temps en temps un passage pour doubler. Dans l'île sud, nous avons passé quelques kilomètres au cul de camions transportant des moutons – odeur éprouvante, qui s'incruste dans la voiture pendant des heures.
Ah, les moutons, toute une histoire. Je les retrouve partout. Dans la campagne. Très près de la ville, comme sur le mont Mounganoui, aux abords de Tauranga.
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